Entrées au Panthéon

Entrées au Panthéon

"Aux grands hommes la Patrie reconnaissante" ... et aux femmes aussi.

Françoise Laborde salue l'entrée au Panthéon de deux femmes, Germaine TILLION et Geneviève DE GAULLE ANTHONIOZ, aux côtés de Jean ZAY et de  Pierre BROSSOLETTE.

"Aux grands hommes la Patrie reconnaissante" ... et aux femmes aussi.

Françoise Laborde salue l'entrée au Panthéon de deux femmes, Germaine TILLION et Geneviève DE GAULLE ANTHONIOZ, aux côtés de Jean ZAY et de  Pierre BROSSOLETTE.

Voir le communiqué de presse du Parti Radical de Gauche à ce sujet


Le PRG salue l’entrée au Panthéon de femmes et d’hommes qui ont incarné la défense de la République et des libertés

vendredi 21 février 2014

Le PRG salue l’entrée au Panthéon de femmes et d’hommes qui ont incarné la défense de la République et des libertés

Jean-Michel Baylet, Président du Parti Radical de Gauche (PRG), se félicite d’avoir été entendu par le chef de l’Etat lui qui, dès 2013, proposait de faire entrer Jean Zay au Temple de l’immortalité et de respecter la parité parmi les personnalités dont les cendres seront transférées au Panthéon.

Il se réjouit de l’hommage accordé à Jean Zay, qui a donné son nom à un prix littéraire (Le Prix Jean Zay) accordé sous le haut patronage de Jean-Michel Baylet pour distinguer ceux qui défendent les valeurs républicaines.

Car ils ont incarné, par leur parcours et leur courage, les valeurs républicaines et la défense de la liberté à une même période décisive de notre histoire : Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz et Pierre Brossolette étaient membre du groupe de résistance du Musée de l’homme, quand l’avocat Jean Zay a été la victime de l’intolérance et du fascisme. Leurs luttes doivent guider les combats aujourd’hui, par l’exemple qu’ils nous ont transmis.

Ces quatre personnalités représentent aussi la diversité des sensibilités politiques de ceux qui se sont engagés pour la République. Jean Zay était radical-socialiste, militant des droits de l’homme et l’un des plus brillants artisans d’une école émancipatrice. Torturé, le socialiste Pierre Brossolette a préféré se donner la mort plutôt que de parler.

Les parcours de l’ethnologue Germaine Tillion et de l’ancienne présidente d’ATD Quart-Monde Geneviève de Gaulle-Anthonioz se sont croisés à de multiples reprises, la seconde ayant remis à la première sa distinction de Grand-croix de la Légion d’honneur, en 1999.

Tous nous ont légué en héritage la défense des valeurs républicaines et humanistes, l’engagement pour la liberté et les droits de l’homme.